To geek or not to geek ?


WiredL’autre jour, j’ai découvert la VALC (Vidéo A La Con) postée le dimanche sur freenews. Je ne suis pas une accroc de vidéos marrantes sur le net, mais celle-là m’a fait rire, et j’ai cliqué sur la 2ème VALC : cette vidéo-là est un excellent extrait du jamel comedy club, et je la conseille vivement.

Bref, ces vidéo m’ont bien fait rire, surtout la seconde, et j’ai repensé au bouquin que j’ai lu pendant les vacances et qui m’a bien tenu en haleine : « Halting state » de Charles Stross (en VO), une histoire de banque cambriolée dans un monde virtuel, qui se passe dans un futur proche. Un des personnages principaux est un programmeur de jeu vidéo. Il maîtrise le Python2000, et voici quelques exemples de nom de chapitres : Halting State - Couverture« Grand Theft Automatic » ou encore  « mouth->insert(foot) ». Si rien de tout cela ne vous parle, le livre va sans doute vous laisser un peu de marbre. Sinon, tentez votre chance, sachant que le style de l’anglais est un peu ardu, entre les expressions « pour faire futur » et les tentative de reproduire l’accent écossais par écrit.

Dans la même série, je me demande si je dois m’inquiéter   du temps que je passe à faire des trucs techniques time-consuming assez futiles et qui n’intéressent que moi. Voir , ou encore, la dernière en date étant le passage de ce blog de wordpress 2.2.1 à wordpress 2.7, juste pour pouvoir mettre des tags (et vous n »aviez rien vu !). Le week-end dernier, alors que je mettais un site web à jour, j’ai tenté de corriger des bugs liés à l’envoi de mails dont les titres ne suivaient pas la RFC-jesépluskoi, et je me suis intéresée à des trucs comme UTF-8 et quoted-printable. Oui, je sais, ça fait peur.

Last but not least, même si ce n’est pas moi y suis abonnée, il m’arrive de lire les articles du magazine Wired, voir même l’entièreté du magazine en période de vaches maigres. Gros titres qui contiennent au moins l’un des trois mots Google, Apple ou Microsoft, sélections de gadgets technoïdes hors de prix,  articles sous forme de listes, une page sur deux de pub, bidules scientifiques,  et ma rubrique préférée « Found » (ou artifacts from the future) : c’est hype et branché.

Should I worry, hein ?

    

2 Commentaires sur “To geek or not to geek ?”

  1. Mince ! Mais rappelle-moi qui est abonné à Wired et drogué au Sprout ? OK, une thérapie de groupe s’impose…

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